MATMUT INFO #32 • 1er TRIMESTRE 2015
La seule statistique de 3,5 millions de personnes privées d’emploi, représentant plus de 10 % de la population active, doit résonner comme une évidence. Si on ajoute que nombre de dossiers de surendettement ont, pour fait générateur, la perte d’un emploi, il ne faut pas chercher plus loin ce qu’est un risque majeur d’échec d’une accession à la propriété.
Le risque est quotidien. Tout au long d’une carrière professionnelle, comment affirmer avec certitude que l’on sera épargné par ce fléau ? Sera-t-on toujours en mesure de le rembourser pendant une période de chômage ? Pour répondre à cette problématique, les assureurs proposent une garantie perte d’emploi dans leurs contrats.
Une véritable couverture implique le paiement définitif d’échéance (pour tout ou partie) au lieu et place de l’emprunteur en situation de chômage et non un simple report de l’échéance avec limitation au seul paiement des intérêts liés aux échéances différées.
C’est ce qu’a toujours défendu Mutlog qui propose une garantie perte d’emploi facultative qui, pour la 4e année consécutive, a reçu le Label d’Excellence des Dossiers de l’Épargne. Outre le fait que la rupture conventionnelle soit reconnue comme éligible à la prestation, les échéances sont prises en compte sur une période de 36 mois continus ou non sur la durée du crédit. La montée en puissance du paiement consécutif des mensualités s’établit comme suit : 40 % pendant les 6 premiers mois, puis 70 % pendant les 24 mois suivants, puis 100 % pendant les 6 mois restants.
Pour un adhérent de 35 ans et un prêt de 150 000 € sur 20 ans, le coût revient à 28,65 €/mois (soit 1,91 €/mois pour 10 000 € empruntés).
Ce n’est certainement pas quand le risque survient qu’il faudra alors se dire : « si j’avais su ! »