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1… je marche

Sur une courte distance ? Rien de tel qu’une balade à pas rythmés ! Pour bien circuler, j’adopte les bons réflexes « piétons ».

Une étude récente vient de confirmer que marcher 9 000 à 10 000 pas par jour (soit 1 h 20 à 1 h 30) réduit le risque de mortalité de plus d’un tiers, et celui de maladies cardiovasculaires de plus de 20 %(1). Voilà qui me motive ! Si je ne peux pas en faire autant, je garde en tête que je mets 15 minutes environ pour parcourir 1 km. Un aller-retour pour aller chercher le pain et amener Zoé à l’école me suffit pour atteindre les 30 minutes d’activité physique quotidiennes recommandées par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). En plus, je passe un bon moment avec mon enfant, en toute sécurité.

(1) Source : Do the associations of daily steps with mortality and incident cardiovascular disease differ by sedentary time levels ? A device-based cohort study (British Journal of Sports Medicine, 2024).

J’emprunte les bons trajets

Je marche en priorité sur les trottoirs et les accotements. S’il n’y en a pas, j’assure ma sécurité en circulant du côté gauche de la route, afin de voir et d’être vu des voitures qui arrivent en face. Pour traverser, j’emprunte les passages piétons, sauf s’il n’y en a pas à moins de 50 mètres. Évidemment, s’il y a des feux tricolores, j’attends que le petit bonhomme rouge passe au vert. Même si je suis pressé, et qu’il n’y a pas de voiture sur la voie. Si je dois traverser une place et qu’il n’existe pas de passage prévu pour moi, je prends le temps de la contourner, en suivant les trottoirs.

Je prends mon temps

Avant de traverser, je montre l’exemple à mon enfant : je regarde bien à gauche, à droite, puis de nouveau à gauche. Je tiens compte de la distance (et de la vitesse) des véhicules en approche, et j’attends qu’ils soient bien arrêtés avant de m’engager. Par temps de pluie ou de verglas, je redouble d’attention et je ne cours pas sur « les clous », pour éviter tout risque de glissade ou de chute.

Je me rends visible

Dès la nuit tombée, j’enfile un gilet, des brassards ou des gants réfléchissants. Si j’emprunte quotidiennement un passage non banalisé ou peu éclairé, notamment hors agglomération, je choisis des modèles « haute visibilité ». J’équipe également mon enfant, en collant des stickers du même type sur son sac à dos.

Le saviez-vous ?

Qu’il aille à l’école à pied, à vélo ou à trottinette non électrique, votre enfant est couvert par l’assurance Scolaire, tout au long du trajet. Notre contrat intègre une garantie Responsabilité Civile en cas de dommages causés à des tiers et des garanties corporelles si lui-même est blessé. Pour découvrir nos offres, à partir de 1 € par mois (tarifs 2024), rendez-vous en agence ou sur matmut.fr.

Je garde les yeux sur mon trajet

Personne n’a envie de ressembler à un « Smombie ». C’est le nom donné à une personne qui se déplace dans la rue tel un zombie, les pupilles rivées sur son téléphone portable, sans se préoccuper de ce qui l’entoure. Je laisse donc mon portable dans mon sac et je reste en alerte, en observant ce qui se passe autour de moi. Je garde un œil particulièrement attentif sur les vélos ou trottinettes : silencieux, ils peuvent rouler vite et me surprendre !

Je respecte le code de la route

C’est vrai, je suis considéré comme prioritaire dans la majorité des cas, et c’est rassurant. Mais si j’ai des droits, j’ai aussi des devoirs, comme les automobilistes, cyclistes ou motocyclistes. Bon à savoir : si j’enfreins les règles, je suis passible d’une amende de première classe de 4 euros.

Et si je ne peux pas marcher ?

En fauteuil roulant manuel ou motorisé, je suis assimilé « piéton ». Pour ma sécurité, je préfère emprunter les trottoirs, mais s’ils sont inexistants, ou impraticables, j’ai le droit d’utiliser les pistes cyclables et la chaussée. Dans tous les cas, quand la nuit tombe, je porte un gilet rétroréfléchissant. Et côté assurance ? Jusqu’en décembre 2023, le fauteuil roulant électrique était considéré comme « véhicule terrestre à moteur », soumis à l’obligation d’assurance Auto. Il est désormais couvert par la garantie Responsabilité Civile Vie Privée de mon contrat Habitation. En fonction des garanties souscrites, mon matériel peut également être assuré. Rendez‑vous en agences pour vérifier si c’est le cas.