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Selon la Commission européenne, les Européens qui choisissent de remplacer leurs biens de consommation au lieu de les (faire) réparer perdent environ 12 milliards d’euros par an*. Si j’hésitais encore, cela vaut le « coût » d’envisager la réparation de mon grille-pain, de mon lave-linge ou de mes chaussures !
* Inciter les consommateurs à réparer plutôt qu’à remplacer | Actualité | Parlement européen
La Matmut lance son Observatoire de la durabilité. Il lui permet d’étudier les trois aspects de la durabilité : protéger l’environnement, soutenir chacune et chacun, construire une économie solide et équitable. Selon cet Observatoire, 96 % des Français estiment que la durabilité représente un enjeu « important, voire prioritaire, pour l’avenir de la société »(1) . Ils pensent que c’est l’affaire de toutes et tous. En privilégiant la réparation plutôt que le remplacement, j’apporte ma pierre à l’édifice.
(1) Observatoire de la durabilité, OpinionWay pour la Matmut, 24 janvier 2025.
Pour éviter les mauvaises surprises, je regarde la réparabilité de l’objet au moment de son achat et lui réserve un entretien aux petits oignons.
Lire l'articleJ’aime mettre les mains dans le « cambouis » ? Je diagnostique la panne et répare tout seul comme un grand, ou presque !
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Je suis super maladroit ? Je fais appel à un réparateur près de chez moi et, selon le cas, je bénéficie de l’accompagnement de mon assureur ou d’une contribution financière de l’État.
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