Magali Ostrolenk, 40 ans, élue déléguée suppléante en 2021, Paris.
Ma génération doit être celle de la transition, porter des valeurs mais aussi agir pour laisser quelque chose d’acceptable à nos enfants. Participer à un modèle construit sur des valeurs humaines comme la Matmut, c’est une façon d’agir. Notre société est de plus en plus individualiste. Les résultats de la Grande consultation ne m’ont d’ailleurs pas étonnée, et la préoccupation de la Matmut sur l’intergénérationnel et la solidarité m’interpelle. Cette solidarité passe aussi par la protection de l’environnement, l’économie circulaire, les investissements responsables… Cet engagement sociétal est historique et très ancré à la Matmut, on le ressent très vite en tant que délégué. C’est important d’y prendre part, ne serait-ce qu’en votant pour ses représentants !
Alain Yven, 68 ans, délégué des sociétaires et du Conseil d’administration depuis 30 ans, Morbihan.
Je suis devenu délégué à 38 ans. J’étais Directeur général de la Mutualité dans le Morbihan et je travaillais avec Paul Bennetot sur plusieurs projets en santé. Pour lui, être délégué, ça voulait dire : faire vivre le territoire, mettre du lien avec les sociétaires. Et c’est vrai ! Je ne suis pas un pro de l’assurance, maisun individu qui, de par sa mission de délégué du CA, rencontre des sociétaires qui se sentent parfois seuls face à leurs difficultés. Mon rôle, c’est de prendre en compte le facteur humain et maintenir cette dimension qui caractérise la Matmut. Aujourd’hui, mon engagement mutualiste se poursuit : je suis Président de région mutualiste, du Fonds de dotation Kerpape, et particulièrement sensible à la politique Matmut dans l’accompagnement des personnes handicapées.