En 2019, la Matmut rejoignait l’aventure Plastic Odyssey. Après 3 ans de réparation, de transformation d’un ancien navire océanographique, de développement de machines de recyclage low-tech pour traiter les déchets, quelle fierté cela avait été pour tous de se tenir à leurs côtés le 1er octobre 2022 à Marseille pour le grand départ du navire laboratoire de la lutte contre la pollution plastique !
Un an plus tard, nous retrouvons l’équipage à l’Olympia à Paris pour célébrer ensemble la première année de l’expédition et fêter son bilan positif.
Au total, 3 projets pilotes de micro-usines implantés à Djibouti, au Togo et en Guinée, environ 20 emplois directs et indirects créés, 10 sessions de formation d’entrepreneurs du recyclage, 305 entrepreneurs incubés, 3 000 élèves sensibilisés à la pollution plastique grâce à leur visite du bateau, 7 écoles accompagnées tout au long de l’année sur un projet de réduction du plastique (France, Liban, Maroc, Sénégal).
Cet anniversaire est également l’occasion pour Nicolas Gomart, Directeur Général et Vice-Président du Groupe Matmut, de remettre le Prix Nouvelle Génération décerné à l’école d’excellence Mariama Bâ sur l’île de Gorée au Sénégal pour son projet de lutte contre la pollution plastique.
Le voyage continue, et la Matmut est très heureuse d’avoir renouvelé son partenariat, car la lutte contre la pollution plastique résonne particulièrement avec les engagements du groupe en matière de responsabilité sociétale et environnementale de l’entreprise, notamment celui d’agir en faveur d’une économie circulaire et régénérative. Elle fait particulièrement écho à la Raison d’être de la Matmut : « Agir en faveur d’une société plus solidaire, plus inclusive et plus active face aux changements climatiques. »
Nous menons par exemple une politique interne ambitieuse de réduction des consommations, de gestion des déchets, de recyclage, de réemploi et d’achats responsables. Notre cap ? Devenir une entreprise « zéro déchet plastique et papier ». Le groupe s’engage aussi pour ses sociétaires, en leur proposant, par exemple, de participer aux grandes cleanwalks du 16 septembre dernier, aux côtés des collaborateurs afin d’adresser, main dans la main, le problème des déchets sauvages et lutter ainsi contre la pollution des océans.